--- title: "Scaleway : test et avis du cloud Français" date: "2017-11-21T20:40:51" draft: false slug: "scaleway-test-cloud" wordpress_id: 230 excerpt: "Scaleway est le nouveau nom d’Online.net, qui fait partie du groupe Illiad (Free). Il s’agit d’un prestataire de…\n" featured_image: "" author: "Kevin" categories: ["Informatique"] tags: [] section: "informatique" --- Scaleway est le nouveau nom d’Online.net, qui fait partie du groupe Illiad (Free). Il s’agit d’un prestataire de datacenter, d’hébergement de serveurs et de données.
En tant que développeur il m’arrive d’avoir besoin de monter une VM de temps en temps. Aujourd’hui j’ai pu découvrir Scaleway, le service cloud d’Online.net sur lequel je peux déployer des machines virtuelles. Grâce à une VM je peux vérifier le fonctionnement de mon code en environnement de production. En utilisant Docker par exemple, je peux m’assurer que tout tourne bien et que mon nouveau code ne régresse pas.Table of Contents
Au départ, j’imaginais devoir comme avec AWS passer par des procédures de validation d’adresse et de carte bancaire. Il s’avère en fait, que sur Scaleway ce n’est pas du tout le cas. L’inscription se passe sans frustration et surtout la procédure d’inscription est très simple. Une adresse email, une validation et le tour est joué. Une fois connecté, on vous demande alors vos informations d’identité et carte de crédit pour passer par la case payement. L’administratif terminé au bout de 2min50s, je peux enfin travailler.

En cliquant sur un simple bouton, on accède à la page de création de VM. Et en quelques secondes on peut s’y connecter et commencer à mettre en place ses applications. Vous avez bien sûr le choix entre plusieurs distributions et selon vos goûts et préférences. Au besoin, il est même possible de créer sa propre image et installer d’office ses propres applications. Pour que votre VM puisse démarrer, il vous faudra ajouter une clé publique SSH. Sans cela, il est impossible d’avoir accès à distance à votre VM. Prenez le temps d’en générer une en utilisant Puttygen (ou autre) et surtout de ne pas la perdre.
Une fois la VM démarrée, on peut accéder directement à la console depuis l’interface web. Ici pas de mauvaise surprise, on ne retrouve que l’essentiel – encore une fois.
En ouvrant Putty – mon client de connexion de console SSH -, en entrant l’adresse IP de la VM et ma clé privée, me connecte sans accroc. Je constate que les commandes sont rapides et que 2 vCPU suffisent amplement à mes besoins de développeurs. Lancer une petite application Ruby ou PHP – ou même de n’importe quel autre langage d’ailleurs – cela ne nécessite pas beaucoup de ressources. Pour du développement donc, la première des machines et la moins cher remplie très bien sa fonction. Autre précision, s’il y a des Gamers parmi vous, sachez qu’il est possible de lancer un serveur Counter-Strike ou même Minecraft à très petit prix sur Scaleway. En effet le payement à l’heure est possible facilite beaucoup de choses.
