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title: "Streaming, DDL, P2P : explications"
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excerpt: "Nous parlons souvent de téléchargement, de piratage, de Streaming, de P2P et bien plus, mais nous n’avons jamais…\n"
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author: "Kevin"
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Nous parlons souvent de téléchargement, de piratage, de Streaming, de P2P et bien plus, mais nous n’avons jamais rien défini. Tout le monde n’est pas au courant des termes utilisés sur Internet et il semble intéressant d’en faire une définition. Également d’expliquer les différents principes et technologies que vous pouvez utiliser chaque jour sans le savoir. Dans cet article, nous allons voir les méthodes qui sont généralement utilisées pour avoir accès à des fichiers.
Le téléchargement direct ou encore « Direct Download » et abrégé « DDL » est l’une des méthodes les plus connue. Elle consiste à récupérer le fichier souhaité depuis un hébergeur.
Lorsqu’il s’agit d’un fichier tout ce qu’il y a de plus légal, celui-ci se trouve généralement sur les serveurs de l’éditeur ou sur des espaces de stockage prévu à cet effet. Lorsqu’il s’agit de fichiers appartenant à des tiers (Films, Series, etc.), ceux-ci sont héberger sur des hébergeurs de fichiers. On peut citer comme hébergeurs des sites comme Megaupload, 1fichier ou encore Uptobox.
Pour un bien commun les utilisateurs (ou pirates) mettent en ligne sur les hébergements de fichiers leurs trésors. Ils les diffusent ensuite sur des sites chargés de les référencer et c’est ainsi que le plus grand nombre peut télécharger simplement.
Le DDL offre un niveau de sécurité relatif. En effet, ces téléchargements n’étant pas surveillés par la HADOPI. Cette méthode de téléchargement permet à ceux qui l’utilisent de passer inaperçu.
Petit bémol cependant, les tailles de fichiers hébergés sont souvent limitées à une centaine de Mo. On se retrouve quelques fois à devoir plus d’une dizaine de fichiers qu’il va falloir à la fin assembler – en utilisant Winrar par exemple. Au passage si l’un des fichiers est manquant ou a été supprimé, c’est l’intégralité du contenu qui est inutilisable.
En clair, le P2P vous met en relation avec des utilisateurs du même réseau que vous, possédant le fichier. Ceux-ci vont alors vous envoyer des morceaux du fichier.
Lorsque vous possédez une partie ou l’intégralité du fichier vous avez alors la capacité de fournir ces mêmes fichiers aux autres membre du réseau. Dans un réseau P2P, les fichiers sont échangés Pair à pair. Le principal avantage : plus le réseau est constitué de personnes mettant à disposition les fichiers, plus la vitesse de téléchargement sera élevée.
Dans les années 2000, nous avons vu naître le protocole eDonkey, qui fut ensuite utilisé par eMule. C’était à l’époque l’un des moyens les plus populaire de partage de fichier. Vous vous connectiez à des serveurs qui se chargeaient de recenser les fichiers mis à disposition par les utilisateurs connectés. Et vous pouviez alors les récupérer en vous connectant à eux et inversement. Aujourd’hui les sites de téléchargement Bittorrent sont nombreux.
Le dernier en date est Yggtorrent, qui reprend le flambeau laissé par T411 à sa mort. J’ai par le passé déjà rédigé un article plus conséquent sur le fonctionnement du Bittorrent. Si vous souhaitez en apprendre plus je vous conseille d’y jeter un œil.
Remarque : Le téléchargement de fichiers sous copyright est illégal. Avec la surveillance des réseaux P2P menée par HADOPI, en télécharger en Bittorrent vous vaudra une jolie lettre. Faites donc attention à ce que vous téléchargez ou protégez-vous efficacement en utilisant une VPN.